Le GLC, disponible en quinze motorisations

Nous avons eu le plaisir d’essayer le nouveau Mercedes GLC, dans sa version 300 diesel hybride électrique. Force est de constater que, dans un Mercedes, on n’est pas perdu. On retrouve tous les points forts habituels et les automatismes : ligne élégante intemporelle, qualité des finitions, confort, robustesse, pléthore des commandes, puissance…

Une version AMG Line améliorée 

Notre modèle d’essai était livré en version AMG Line, c’est-à-dire la ligne sportive très équipée : jantes de 20’’, pneus de 255 à l’avant et de 285 à l’arrière, surélevant le modèle de quelques centimètres, finitions Premium… La qualité des finitions intérieures est tout à fait appréciable. On aime en particulier la grande dalle centrale tactile, très rapide et aux nombreux paramètres.

Alors, et ce mode hybride ?

Certes, les batteries réduisent considérablement l’espace du coffre Mais, il y a un mais ! Nous dirions même qu’il s’agit du point fort du Mercedes GLC 300 diesel Plug-in Hybrid électrique. Il s’agit de son autonomie globale en mode hybride, plus de 700 km (!), et en mode électrique seul, environ 120 km.

Le système fonctionne de la manière suivante : à faible vitesse (sous les 30 km/h), le mode électrique prend le dessus ; au-delà des 31 km/h, c’est le diesel qui reprend la main. En ville, le moteur oscille en permanence entre modes hybride électrique et diesel, ce qui manque parfois de dynamisme, malgré la boîte de vitesses automatique 9G-Tronic Plus mais ceci n’enlève en rien à la qualité de l’agencement du mode PIH. Le poids du véhicule n’y est pas pour rien… En revanche, sur route nationale ou l’autoroute, aucun problème ! Le moteur de 340 CV, en puissance combinée (204 + 136 CV), ronronne comme une horloge, dans un silence et un confort remarquables.

De plus, le moteur diesel et l’inertie rechargent efficacement les batteries. Plus vous roulez, plus vite elles se rechargent. Vous pouvez facilement regagner environ 100 km d’autonomie globale, en mode hybride, en roulant 30 minutes sur l’autoroute. De toutes les voitures électriques ou hybrides testées précédemment, c’est la première fois que nous terminons un essai en ayant une autonomie globale plus élevée qu’en début d’essai (c’est-à-dire : sans devoir utiliser de borne de rechargement).

En bref…

Nous apprécions la qualité des finitions, la direction incisive et le confort de Mercedes. Mais ce que nous apprécions le plus dans ce véhicule, c’est sa capacité de recharge autonome en mode hybride ! Pour une fois, on atteint vraiment les 700 km affichées, en mode hybride !

Prix du modèle essayé : à partir de 79.134 €

Première homologation au monde de système pour la conduite automatisée conditionnelle attribuée à Mercedes

Mercedes-Benz est le premier constructeur automobile au monde à répondre aux exigences légales exigeantes du règlement de l’ONU No 157 pour un système de niveau 3[1]. L’Autorité fédérale allemande des transports automobiles (KBA) a accordé l’homologation du système à ce système sur la base du règlement technique de l’ONU No 157, ouvrant ainsi la voie à l’offre d’un tel système au niveau international[2], à condition que la législation nationale l’autorise. L’Allemagne a joué un rôle de pionnier dans ce domaine avec l’ouverture de la Loi sur la circulation routière (StVG) aux systèmes de niveau 3 en 2017. C’est pourquoi les premiers clients pourront acheter une Classe S avec DRIVE PILOT au cours du premier semestre 2022, leur permettant de rouler en mode automatisé conditionnel à des vitesses allant jusqu’à 60 km/h dans des conditions de circulation dense ou d’embouteillages sur les tronçons d’autoroute appropriés en Allemagne. L’équipement spécial DRIVE PILOT soulage le conducteur et lui permet d’effectuer des tâches secondaires[3] sur l’écran central, telles que des achats en ligne ou le traitement des e-mails dans In-Car Office. L’homologation du système s’applique également à l’EQS.

DRIVE PILOT s’appuie sur les capteurs d’environnement du pack d’assistance à la conduite et comprend des capteurs supplémentaires que Mercedes-Benz considère indispensables pour une conduite automatisée conditionnelle en toute sécurité. Ceux-ci incluent LiDAR, ainsi qu’une caméra dans la lunette arrière et des microphones, en vue de détecter notamment les lumières bleues et autres signaux spéciaux des véhicules d’urgence, ainsi qu’un capteur d’humidité dans le passage de roue. Outre les données des capteurs, le DRIVE PILOT reçoit des informations sur la géométrie de la route, les propriétés de l’itinéraire, les panneaux de signalisation et les événements de circulation inhabituels (par ex. accidents ou travaux) à partir d’une carte HD numérique. Celles-ci sont mises à disposition et à jour par le biais d’une connexion back-end. La Classe S avec DRIVE PILOT en option dispose également de systèmes de direction et de freinage redondants et d’un réseau de bord redondant, afin qu’elle puisse toujours être manœuvrée, même en cas de panne de l’un de ces systèmes, et que le conducteur puisse prendre le relais en toute sécurité.

Si le conducteur ne reprend pas le contrôle même après une demande de plus en plus urgente et l’expiration du délai de prise en charge, par exemple en raison d’un grave problème de santé, le système freine le véhicule jusqu’à l’arrêt de manière contrôlée et avec une décélération appropriée. En même temps, les feux de détresse et, une fois le véhicule à l’arrêt, le système d’appel d’urgence Mercedes-Benz sont activés et les portes et fenêtres sont déverrouillées, pour faciliter l’accès à l’intérieur des premiers intervenants.

[1] SAE niveau 3 : la fonction de conduite automatisée prend en charge certaines tâches de conduite. Cependant, la présence d’un conducteur est toujours requise. Ce dernier doit être prêt à prendre le contrôle du véhicule à tout moment lorsqu’il est invité à intervenir par le véhicule.

[2] États contractants de la CEE (57) y compris les États de l’UE, le Royaume Uni, le Japon, la Corée et l’Australie

[3] Les activités secondaires du conducteur légalement autorisées dépendent des réglementations nationales relatives à la circulation routière.

Voici l’aftermovie de brusselsroadsexperience 2021. Nous étions très heureux de vous vous avoir accueillis en forme avec toujours cette passion commune que nous partageons. Certes, Elle devient de plus en plus verte mais elle reste intacte. C’est une excellente reprise de contact qui inaugure les beaux jours à venir après plus de deux ans d’absence. Bravo aux équipes et félicitations à nos partenaires importateurs qui innovent chaque jour. Le film complet du reportage suivra ainsi que les photos officielles. En attendant, admirez le magnifique teaser de nos cadreurs avec le service impeccable de Restauration Nouvelle ! Merci à tous !

Depuis la début de la crise du Covid-19, la planète entière est au ralenti. Tout comme tous les autres secteurs d’activité, l’industrie automobile aussi est obligée de se réinventer pour survivre à la crise. Découvrez les astuces et innovations de Volkswagen dès maintenant ainsi que les ambitions d’après Covid. Sur le plateau d’Enjeux Télévision et Studios à Bruxelles, le porte-parole de la marque invité dans l’émission Brusselsroads Fait son Salon à répondu à nos questions allant jusqu’à nous exposer les nouveautés  en matière de mobilité douce durant cette période de pandémie. Visionnez la vidéo ici.

Avec le GLS de Mercedes, il est inutile de tergiverser durant des heures : il combine le confort des berlines de la marque allemande avec l’efficacité du tout-terrain. En clair : un bloc de granite monté de sièges en velours.

Un colosse

1m83 de haut, 2m16 de large et 5m20 de long. Voilà les mensurations de ce mastodonte, qui rivalise clairement avec le BMW X7. Et les lignes extérieures du GLS accentuent encore un peu son effet « gros calibre ». Carré, avec un nez court et un habitacle qui semble, en comparaison, très long. Le GLS en devient presque difficile à stationner dans les parkings étroits des centres-villes. Heureusement, Mercedes l’a bardé de capteurs et de caméras.

De plus, grâce à sa silhouette, l’espace intérieur semble sans limites. Il propose 6 belles places, sans exiger des passagers taille « mini » dans le fond. 7 avec une place centrale sur la deuxième rangée de sièges. Si toutes les rangées de sièges sont sorties, le GLS offre un coffre de 680 litres. Par contre, une fois les sièges du fond abattus, votre coffre frôle alors les 2 300 litres. Un plaisir pour le transport de gros volumes. Le petit plus : toutes ces opérations peuvent être électrifiées, selon le pack d’options embarqué.

Ambiance « classe S »

L’écran widescreen positionné de façon centrale capte le regard dès que l’on monte dans l’habitacle. Toutefois, vu que la technologie se généralise, elle impressionne moins qu’à son arrivée sur le marché. Le reste du véhicule se veut tout aussi luxueux : les finitions chromées ou boisées, selon votre choix, rappellent le luxe de la classe S, avec la mobilité sur la route d’un SUV. Il faut reconnaître au GLS que peut importe l’état des routes belges : ses 4 roues motrices et sa boîte automatique à 9 rapports amortissent les moindres chocs.

Un moteur puissant

Avec un colosse de 2,5 tonnes, Mercedes était obligé d’assurer côté motorisation. Des blocs de 6 et 8 cylindres sont possibles. En version Diesel, le GLS propose 286 ch et 330 ch. La version essence, « dopée » par l’EQ-boost, propose 367 ch en 6 cylindres, et un V8 qui développe jusqu’à 489 ch. Le luxe et l’espace ont un prix : notre version plafonnait à 104.235€.

Avec le label EQ, Mercesdes-Benz s’est engagé à développer toute une gamme de véhicules électriques. Le premier modèle de la série, le EQC, sortira l’été prochain. Si le marché de la propulsion électrique reste encore restreint, il se développe rapidement, et pourrait devenir la nouvelle ruée vers l’or vert pour les constructeurs.