BMW frappe fort avec ce modèle 330e hybride. Voilà un modèle qui allie parfaitement les avantages de l’hybride avec la philosophie sportive de la marque.

On ne va pas passer par quatre chemins. Comme toujours chez BMW, c’est le coffre qui pèche. Il fait 375 litres, soit 145 litres de moins que les versions thermiques du même véhicule. En cause, les batteries intégrées sous la banquette arrière (40/20/40). C’est toutefois là un des rares bémol de cette version hybride.

6 motorisations

Voilà une nouvelle qui va faire plaisir aux amoureux des motorisations. La 330e Hybride dispose de 6 modes de conduite : 100% électrique, Hybride, Hybride-eco-pro, Sport, Sport individual, XtraBoost. Une des nouveautés de la nouvelle génération hybride chez BMW est ce mode « sport ». Le mode XtraBoost permet de rajouter 41 ch à un véhicule qui atteint déjà les 100KM en 5,9 secondes. Le véhicule bénéficie en plus de la boîte automatique BMW, ultra réactive, ce qui permet d’obtenir une voiture sportive et dynamique.

Cependant, elle peut assurer des trajets de 60km en full électrique, et dispose d’une puissance de 292 ch lorsque l’on combine le moteur thermique essence et l’électrique. Une performance agréable pour une berline de cette taille.

L’intérieur

Plein pied dans l’ergonomie BMW côté tableau de bord et commandes. Tout est centralisé sur un écran central, orienté vers le conducteur. Un détail typique de la marque allemande, qui pense toujours tout pour faciliter la conduite. La finition intérieure à l’avant est soignée, voire épurée.

On peut qualifier l’arrière par contre de dénudé, avec une assise pour les passagers très courte. Rien de neuf concernant ce modèle toutefois, il s’agit d’un reproche régulier des utilisateurs envers les BMW.

Le prix

L’entrée de gamme se situe à 51 800€. Même ordre de valeur que ses demi-sœurs la 330d xDrive et la 330i xDrive. Deux points devraient finir de vous convaincre : en conduite combinée, cette hybride vous permet de diminuer votre consommation de 10%. Et avec sa conduite mixte, elle annonce une consommation à 1,7l/100km, avec des émissions de CO² de 39g/KM. Un résultat qui permet de passer largement sous le couperet de la taxe éco-malus belge, qui ne débute qu’à 146g d’émission de CO² par kilomètre.

Tout dans cette berline BMW appelle à la noblesse et au silence respectueux dont on fait preuve devant les plus grands. Les lignes extérieures sont pures, et les garnitures des pare-chocs avant et arrière se caractérisent par quelques chromes brillants. Là est le résumé de cette voiture : le mieux est l’ennemi du bien, le constructeur a donc parié sur un assemblage de matériaux distingués et un confort de conduite poussé à son apogée pour la gamme. Details

Après le lancement sur le marché de la première BMW X2 digne, événement digne d’un film hollywoodien, c’est au tour de la quatrième génération de la BMW X5 de voir le jour avec un bagage d’innovations et d’aides à la conduite. Revendiquant le concept familier de SAV (Sports Activity Vehicle), c’est Christophe Weerts qui s’est mis à l’exercice de nous en parler. Details

C’est au détour d’une rencontre de presse que Dr. Peter Henrich, Président et CEO de BMW Group Belux a fait le point de l’année écoulée mais aussi et surtout a procédé à la présentation de la toute nouvelle BMW I8 RODASTER, décapotable désormais, avec une collaboration innovante avec la créatrice Fabienne Delvigne.

L’offensive et la rue vers l’électrique

A Bruxelles pour le salon de la capitale européenne, BMW lance une offensive produits en présentera quelques échantillons avec au moins cinq premières mondiales qui seront dévoilées.

Pour avoir vendu plus de 100.000 voitures électriques en 2017 selon Peter Henrich, BMW vient de restyler sa petite i3 mais aussi conçu une version vitaminée de cette petite citadine électrifiée. Elle s’appellera d’ailleurs BMW i3S d’autant que la i3, toujours selon le patron du Group Belux serait la voiture électrique la plus vendue en Belgique (519 modèles) soit 1 voiture sur 5. Mais ce qui justifiait beaucoup plus la présence de la quarantaine de professionnels de médias à la suite 101 de BMW Store Bruxelles, c’était la présentation de la nouvelle BMW i8 Roadster, qui plus est, devient décapotable, et qui est présentée en première européenne à Bruxelles.

La nouvelle BMW i8 Roadster

Les faits et l’actualité

Produit depuis 2014, la BMW i8 a été pour beaucoup de puristes une prouesse de technologies et d’innovations en matière de voiture sportive hybride rechargeable. Aujourd’hui âgée de 4 ans, elle propose une version Roadster (décapotable s’il vous plaît), dont elle se différencie par l’apparition de violets sur la prise d’air du capot avant et du badge « coupé » sur le montant arrière. L’exclusivité de la présentation à Bruxelles est que BMW s’est offert les service de la créatrice Fabienne Delvigne, qui a spécialement conçu deux coiffes pour accompagner la nouvelle i8. Selon BMW, cette collaboration s’inscrit dans une démarche artistique et créative, au carrefour du monde automobile, là où la mode et le sport se côtoient. « Univers souvent décrit comme masculin, le milieu automobile n’en reste pas moins très apprécié de la gente féminine. La Belgique compte par ailleurs plusieurs femmes pilotes de renommée internationale et je souhaitais apporter une touche glamour dans ce monde d’hommes. », précise la créatrice.

Les deux créations pour dédiées pour la i8

Selon les propres mots de la créatrice, Savoir-faire artisanal, élégance, luxe et féminité, telles sont les caractéristiques propres à la Maison Fabienne Delvigne mises au service de ce partenariat avec BMW. A noter que la créatrice cherchant à sublimer par la différence, propose pour la i8, deux créations distinctes. Il s’agit notamment de

– Le chapeau « Electra » Chapeau casque en paille brune incrustée de fibres lamées couleur bronze et transparentes qui apportent une dimension électrique. Dynamique et aérien, il rappelle les casques portés par les pilotes des circuits automobiles.

– La casquette « Vanina » Créée pour la femme active, jeune et dynamique, cette casquette garnie d’une bande de cuir, rappelle l’intérieur de la voiture. Des lignes simples et élégantes réalisées dans des matériaux raffinés et de grande qualité.

Pour info, Le savoir-faire développé par la Maison Fabienne Delvigne depuis la fin des années 80 lui a permis d’obtenir au fil du temps la confiance de membres des familles royales de Belgique, des Pays-Bas, du Grand-Duché de Luxembourg et de Suède et puis le titre de Fournisseur Breveté de la Cour de Belgique accordé par S.M. Le Roi Albert en 2001 et par S.M. Le Roi Philippe en 2013.

Peter Henrich, CEO et Président BMW Group Belux aux côtés de Fabienne Delvigne et ses collaboratrices

Certes, BMW met la barre très haute mais au regard des prix qui seront pratiqués, à la fois pour ce bolide sportif, actuellement sans équivalent, ainsi que ses accessoires de luxe exquis, on se demande à la rédaction, combien d’heureux passionnés pourraient véritablement en devenir propriétaires !

Sa ligne ? Superbe. Son aérodynamisme ? Nettement amélioré, par des mesures ciblées sur la carrosserie (Active Air Stream, Air Curtain et Air Breather). Le véhicule phare de la marque munichoise se présente comme un modèle d’efficience et de technologies. Vrai en toutes circonstances ?

Le confort, c’est bien…

Certes, l’intérieur de la nouvelle BMW 520d Touring Luxury line accorde un bel espace aux places avant et arrière. Les sièges moelleux se montrent enveloppants et l’on s’y sent bien. Le cuir Nappa surpiqué s’avère robuste, de belle facture, et l’appuie-tête est particulièrement agréable et doux. En termes d’ergonomie, aucune originalité : les boutons et commandes sont fonctionnels et bien positionnés. Le tableau de bord, revêtu de Sensatec, un similicuir appliqué sur une mousse semi-rigide, confère une impression de luxe à l’habitacle. La console centrale reste efficace, mais sans surprise. On regrette beaucoup le manque le conservatisme de l’intérieur. Malgré les finitions en bois noble Fineline Ridge et le joli éclairage d’ambiance LED, l’effet « waouw » n’est pas au rendez-vous.

BMW Série 5 Touring - Console
BMW Série 5 Touring – Console
BMW Série 5 Touring - Levier de vitesses
BMW Série 5 Touring – Levier de vitesses

Les finitions auraient pu être améliorées en remplaçant, par exemple, tous les petits éléments de plastique. L’impression globale de luxe aurait beaucoup gagné en intégrant un véritable système audio haut de gamme et en redessinant complètement la console centrale, décidément trop vieillotte. On aurait également apprécié un toit panoramique, même partiel, pour apporter un peu de gaieté à l’habitacle.

… les performances, c’est mieux !

Nous avons essayé la 520d Touring, pourvue d’une motorisation de base de 190 ch (140 kW), avec boîte automatique Steptronic à huit rapports. Nous aurions toutefois apprécié une motorisation plus puissante, par exemple celle de la Touring 530d de 265 ch (195 kW). Car, en effet, à bas régime, en ville ou dans les embouteillages, le moteur et la boîte de vitesses ne sont pas en symbiose parfaite et le manque de couple se fait cruellement sentir (400 Nm pourtant). On ressent comme des à-coups, des envolées de décibels, des manques de réactivité. La boîte de vitesses a semblé mal étagée et nous a paru manquer singulièrement de souplesse. La consommation, en mode urbain, de ce petit diesel de 1.995 cm3, s’est même avérée assez importante, de l’ordre de 8,4 l/100 km.

BMW Série 5 Touring - Ligne racée
BMW Série 5 Touring – Ligne racée

Par contre, sur autoroute, on ne s’est pas privé du plaisir de conduire : le break allemand avale les kilomètres sans problème. La consommation en mode extra-urbain est d’ailleurs d’environ 5 l/100 km. Nous avons fort apprécié le mode de conduite « Eco Pro » du Driving Experience Control, qui permet jusqu’à 20 % d’économie de carburant, en adaptant intelligemment l’accélérateur, la boîte de vitesses, la climatisation et le chauffage. Les kilomètres de carburant ainsi épargnés sont indiqués sur le tableau de bord, près du tachygraphe. Le duo EfficientDynamics et Brake Energy Regeneration ont joué parfaitement leur rôle, de même que la suspension très confortable.

Des performances, c’est mieux ? Le véhicule nous a paru efficace et performant sur autoroute, mais beaucoup moins agréable en mode urbain. L’étagement de la boîte de vitesses, l’insonorisation et le système audio auraient sans doute pu être améliorés.

Les plus

  • Ligne masculine et raffinée
  • Confort de la suspension
  • Volume du coffre
  • 119 g/CO2/km pour notre modèle

Les moins

  • Moteur bruyant à bas régime
  • Motorisation insuffisante pour le poids du véhicule
  • Système audio indigne d’une version Luxury line
  • Prix de 66.330 EUR ttc

Impressive design.

No matter what terrain the BMW X5 M Edition Black Fire and the BMW X6 M Edition Black Fire find themselves on, these special models cut a fine figure on any route. The rich shade of black in the Sapphire Black Metallic paintjob alone catches the eye. The same and more can be said of the black M double kidney with black bars. It is a unique feature of the Black Fire Edition. This also applies to the forged 21-inch M alloy wheels in black. These large wheels with mixed-sized tyres (front: 10 J x 21, rear: 11.5 J x 21) are weight-optimised and instrumental in transferring the power generated by the M TwinPower Turbo Technology to the road. Another distinguishing feature of the Black Fire Edition are the standard carbon mirror caps. They accentuate the lightweight design of both models and show the close relationship between both the BMW X5 M and BMW X6 M and motorsport.

Motorsport feel on the inside.

Great emphasis is also placed on premium quality and exclusivity inside the BMW X5 M Edition Black Fire and BMW X6 M Edition Black Fire. Fully-electric M multifunctional seats with integrated headrests come as standard in full fine-grain Merino leather, in contrasting Black and Mugello Red. The fine tone is underlined by the contrasting red seams on the full leather upholstery, which also includes the central console. The feel and colour of the BMW Individual headliner in anthracite, another feature of this special edition, makes it the perfect complement to the premium full leather upholstery. The interior trim shines in piano finish black. The logo of the X5 M or X6 M Edition Black Fire, which adorns the right side of the interior trim on the passenger side of the car, also shows that there is something special about the car.

As well as the standard, multifunctional M leather steering wheel with aluminium shift paddles, the BMW M Performance Alcantara steering wheel with light-blue leather motorsport accent is also available as an option and at no extra charge. It not only creates a racing feeling, but also boasts an eye-catching design and extremely prevalent gripping area made from Alcantara – for optimal grip in all temperatures. This is perfectly suited to the impressive driving performance and dynamics demonstrated by every BMW X5 M and BMW X6 M.

Power on the streets.

Both models generate a top performance of 423 kW/575 hp (both: combined fuel consumption: 11.1 l/100 km; combined CO2 emissions: 258 g/km*) from the 4.4-litre V8 engine. Both cars do 0 to 100 km/h in just 4.2 seconds with the standard 8-speed M Steptronic gearbox. The maximum torque of 750 Nm produces impressive drive in the rpm range between 2,200 und 5,000 min -1. The xDrive four-wheel drive system has been set up with a rear-wheel bias, which improves the agility of the BMW X5 M and BMW X6 M. The Dynamic Performance Control system seamlessly distributes the drive torque between the rear wheels. In combination with the outstanding deceleration values of the M compound brakes, which boast excellent deceleration values, precise dosage, light weight and increased thermal stability, everything is in place to allow an agile and dynamic driving style. The unmistakable sound of the M TwinPower turbo engine makes the impressive performance of both models audible, thus providing an extremely emotional driving experience. The Dynamic Stability Control (DSC) also allows every driver to adapt the sportiness of their BMW X5 M or BMW X6 M to any situation and to suit their individual preferences, at the push of a button. In “DSC on” mode, the brake interventions work to prevent understeer and oversteer. “MDM” allows greater wheel slip, meaning ambitious drivers are able to perform small drifts. Deactivating DSC (“DSC off”) makes it possible to explore the limits on the racetrack, and to use the accelerator pedal to get the car drifting. The new special editions will be available starting in August 2017.