Pour tous les propriétaires de citadines 3 portes qui sont las des designs de marques tous plus similaires les uns que les autres mais qui ne veulent pas perdre en confort et mobilité en passant à des gammes moins compact, la DS3 Crossback va piquer votre curiosité.

Son design est atypique, intérieur et extérieur inclus. Il est anguleux, brut, ses lignes sont fermes et surprenantes. Le concepteur n’a pas hésité à briser les codes (et les lignes de fuite). Pour les adeptes de la marque, ils auront immédiatement remarqué la finition en forme d’aileron de requin pour la vitre de flan, comme dans le premier modèle estampillé uniquement DS d’il y a 9 ans.

Pour une longueur de 4,12 mètres, on lui trouve un coffre de 350 litres. Outre sa calandre chromée, elle s’illustre avec quelques avancées technologiques, comme les inédites poignées affleurantes ou les phares LED Matrix Vision, afin de ne pas éblouir les autres conducteurs. La DS3 Crossback possède quelques aides à la conduite comme le freinage d’urgence automatique ou la reconnaissance des panneaux, et d’autres plus « gadget » comme la DS SMART ACCESS qui vous permet de céder votre véhicule, à distance, à une personne de votre choix.

  

Elle est vue comme stable, réactive, mais avec un bruit de moteur trop présent dans l’habitacle. On peut choisir entre différentes motorisations selon le carburant et la boîte de vitesse. Un Diesel avec une boîte manuelle vous offre 100 ch et une consommation moyenne de presque 4L/100km. La boîte automatique 8 rapports vous laisse jusqu’à 130 chevaux. Concernant les adeptes de l’essence, l’offre est similaire, à l’exception de la boîte automatique qu’il est possible de coupler avec un 130 ch ou un 155 ch.


Le vrai choc, sur la DS3 Crossback, est le prix. Avec un modèle de base à 23 500€ très mal équipé, elle force à la dépense et avoisine rapidement les 30 000€ lorsque l’on ajoute quelques améliorations techniques et esthétiques. Elle reste toutefois meilleur marché que sa concurrente, l’Audi Q2.