Lancée en novembre 2019, la GT-R liftée avale du bitume depuis maintenant un an. Annoncée comme plus performante avec un moteur à bas régime et une consommation en légère baisse, il est l’heure du bilan.

La couleur : le mythe dans le mythe

Nissan a voulu frapper fort en proposant la couleur bleue Bayside Blue. Hommage à la Skyline R34 GT-R de la saga Gran Turismo, ce détail fait toute la différence. Il fait partie des options autorisées par Nissan sur ce modèle, ainsi que des sièges en cuir gris et des jantes 20 pouces inédites. Ces options font toutefois flamber l’addition. Le pack « Premium » vous permet d’acquérir ce modèle de légende pour 129 998$. Le pack « Track Edition », lui, enfile sa tenue de mariée avec ses 600 chevaux, une suspension NISMO et un toit en fibre de carbonne, et monte jusque 166 998$.

Les améliorations

A l’intérieur, la Nissan GT-R Premium 50th Anniversary Edition coupe le souffle. Parfait équilibre entre cuir et alcantra, elle présente les dernières avancées technologiques et multimédia, commandées par un écran tactile de 8 pouces. On souligne le changement de design autour du compteur. La GT-R se met aux goûts de l’époque et propose un changement de couleur pour la casquette d’instrumentalisation centrale et l’introduction de fibre de carbone.

Godzilla version « 2020 » fait honneur à sa réputation. Avec son V6 de 3,8L et sa puissance de 6 8OO tours/minute (421 kW), elle passe de 0 km/h à 100 km/h en 3 secondes. Le système Départ-canon remplit son rôle à merveille. Le châssis a aussi eu droit à son lifting. La suspension est plus confortable et stable, et la direction se veut linéaire et précise jusqu’au palier des 300 km/h. Un volet « sécurité » qui permet à ce bolide de freiner de façon stable et mordante en cas de besoin.

Le turbo honore aussi la promesse de Nissan d’une meilleure tenue ) bas régime et une réactivité optimale du moteur. Avec son nouvel embout en titane aux finitions bleu bruni, la GT-R conserve son bruit d’échappement caractéristique. Mais le pare-brise en verre acoustique insonorise parfaitement l’habitacle.

Il y a un « hic » ?

Pas vraiment. Un des reproches que l’on peut faire à Godzilla est sa consommation. Avec 12,8L/100km en consommation combinée et 14L/100 en ville, le coupé de luxe est gourmand. Difficile de faire mieux toutefois au vu des technologies actuelles, lorsque l’on propose de telles performances d’accélération et de tenue de route, pour un poids de 1 784 kg. Son réservoir de 70 litres permet toutefois une autonomie d’environ 550 km, pour une émission CO² de 300g/KM.

Il relèverait de l’affront dans tous les cas de se permettre de cracher sur un modèle mythique comme la GT-R, qui ravit les amateurs de sports automobiles depuis 1964. Adaptée aux routes comme aux circuits, Godzilla version 2020 est entièrement dédiée au plaisir de conduire.

 

 

Passage à l’électrique du réseau de production de Mercedes-Benz : Six nouveaux lancements de MERCEDES-EQ en 2022 (Communiqué)

En 2022, huit véhicules électriques Mercedes-EQ au total seront produits sur sept sites répartis sur trois continents. Et ce grâce à des investissements précoces à l’échelle mondiale dans la flexibilité et l’équipement technique avec des solutions Industrie 4.0 orientées vers l’avenir. Dans les usines Mercedes-Benz AG, des véhicules dotés de différents types d’entraînement peuvent être produits en parallèle grâce à des structures extrêmement flexibles. Dans l’optique stratégique de générer plus de la moitié des ventes avec les hybrides rechargeables et les véhicules électriques (xEV) à partir de 2030 et d’augmenter progressivement la part 100 % électrique, le degré élevé de flexibilité s’avère un avantage décisif. Il permet d’ajuster la production à bref délai en fonction de la demande du marché.

smart complète la gamme de voitures électriques de Mercedes-Benz avec trois modèles supplémentaires. La smart EQ fortwo (consommation électrique en cycle mixte : 16,5 kWh/100 km ; émissions de CO₂ en cycle mixte : 0 g/km)1 et la smart EQ fortwo Cabrio (consommation électrique en cycle mixte : 16,8 kWh/100 km, émissions de CO₂ en cycle mixte : 0 g/km)1 sont produits à Hambach, en France, et la smart EQ forfour (consommation électrique en cycle mixte : 17,3 kWh/100 km ; émissions de CO₂ en cycle mixte : 0 g/km)1 à Novo Mesto, Slovénie. La prochaine génération de véhicules électriques smart sera produite par la coentreprise smart Automobile Co., Ltd. en Chine. Il s’agit d’une coentreprise de Mercedes‑Benz AG et du groupe Zhejiang Geely (Geely Holding).

La propulsion hybride rechargeable est importante en tant que technologie clé et étape intermédiaire vers un portefeuille de produits 100 % électriques. Plus de 20 variantes de modèles hybrides rechargeables font déjà partie intégrante de la gamme de produits de Mercedes-Benz. Le portefeuille sera élargi pour inclure plus de 25 variantes de modèles dès 2025. Leur production joue donc également un rôle important dans le réseau de production mondial. Des véhicules hybrides rechargeables sortent déjà des chaînes d’assemblage de Mercedes-Benz Cars dans quasiment toutes les usines automobiles.

Réseau mondial de production de batteries : un facteur clé du succès de l’offensive électrique de Mercedes-Benz

Les batteries des véhicules électriques Mercedes-EQ sont fournies par un réseau mondial de production de batteries dans des usines réparties sur trois continents. La production locale de batteries est un facteur clé du succès de l’offensive électrique de Mercedes-Benz.

Deux usines à Kamenz (Allemagne) produisent des systèmes de batteries pour hybrides, hybrides rechargeables et véhicules électriques depuis 2012. La deuxième usine de batteries du site a démarré ses activités en 2018 et produit les systèmes de batteries de l’EQC depuis 2019. Elle a été conçue dès le départ en tant qu’usine neutre en CO₂ et associe, entre autres, l’énergie solaire, l’énergie géothermique et une centrale de production combinée chaleur-électricité. Les systèmes de batteries pour l’EQA sont également sortis récemment de la ligne de production du site. Depuis le début de la production chez Accumotive, plus d’un million de batteries basées sur la technologie lithium-ion pour véhicules électriques, hybrides rechargeables et systèmes 48 volts ont été produites sur le site de Kamenz.

Mercedes-Benz et BAIC ont conjointement mis en place une production locale de batteries sur le site existant du parc industriel de Yizhuang à Pékin (Chine). Celle-ci fournit l’usine de véhicules à proximité, qui a également ajouté les modèles tout électriques Mercedes-EQ à son portefeuille avec l’EQC. La production de systèmes de batterie pour l’EQC y a démarré en 2019. Avec le démarrage de la production des EQA, EQB et EQE, l’usine fabriquera des systèmes de batteries pour quatre modèles Mercedes-Benz EQ en tout à partir de 2021.

Cette année, l’usine de batteries de Jawor (Pologne) a commencé à produire des batteries hybrides rechargeables pour les Classes C, E et S. L’an prochain, le site élargira son portefeuille pour inclure des systèmes de batterie pour les modèles compacts Mercedes-EQ, l’EQA et l’EQB. Tout comme l’usine de batteries de Kamenz, l’usine a été conçue dès le départ pour être neutre en CO₂.

À l’avenir, deux usines produiront des systèmes de batteries sur le site d’Untertürkheim (Allemagne). Les derniers préparatifs pour la production des systèmes de batteries pour l’EQS, qui sortira au premier semestre 2021 de la chaîne de production proche de Sindelfingen, sont actuellement en cours à l’usine de Hedelfingen. Le système de batteries pour l’EQE sera également produit à Hedelfingen. Une autre usine de batteries est en cours de construction sur le site de Brühl : elle fabriquera des systèmes de batteries pour les hybrides rechargeables Mercedes-Benz à partir de 2022. Les travaux sur le bâtiment sont déjà terminés. L’usine de batteries de Brühl sera entièrement équipée dans les mois à venir.

La production des modèles SUV de l’EQS et de l’EQE démarrera en 2022 dans l’usine Mercedes-Benz de Tuscaloosa (États-Unis). Une usine de batteries est en cours de construction à proximité immédiate et fournira des systèmes de batteries à haut rendement pour les deux modèles. Les travaux sur le bâtiment sont déjà terminés. Des systèmes ultra modernes y seront installés dans les prochains mois.

En outre, une autre usine de batteries sur le site de Sindelfingen est actuellement prévue dans la stratégie de production de Mercedes-Benz.

En collaboration avec son partenaire local Thonburi Automotive Assembly Plant (TAAP), Mercedes-Benz Cars a établi une usine de production de batteries à Bangkok (Thaïlande) qui a démarré ses activités en 2019. Les systèmes de batteries pour les hybrides rechargeables actuels des Classes C, E et S sont fabriqués sur le site. Des préparatifs sont également en cours pour y fabriquer des batteries pour les véhicules tout électriques de la marque Mercedes-EQ.

‘Electric First’ et ‘Ambition2039’ : Mobilité et production neutres en CO₂

Dans le cadre de ‘Electric First’, l’objectif clair de Mercedes-Benz est d’électrifier systématiquement toutes les variantes de modèles et types de véhicules. Le facteur décisif au cours des prochaines années sera d’augmenter progressivement la part purement électrique du portefeuille de véhicules. Les xEV (hybrides rechargeables et véhicules entièrement électriques) devraient représenter plus de la moitié des ventes en 2030 et cette tendance est à la hausse. Les véhicules électriques de Mercedes-Benz jouissent d’une popularité croissante. En tout, 45.000 véhicules électriques et hybrides rechargeables (xEV) ont été livrés dans le monde au troisième trimestre 2020.

Avec ‘Ambition2039’, Mercedes-Benz a ouvert la voie à la neutralité CO₂ il y a plus d’un an. La production de véhicules joue un rôle crucial à cet égard. Dès 2022, les usines de voitures et de camionnettes de fonction Mercedes-Benz produiront sans émissions de CO₂ à l’échelle mondiale. Soit plus de 30 usines de voitures et de camionnettes, sans compter les usines de batteries.

Annulé en mars dernier par crise du coronavirus, le Comité et le Conseil de la Fondation du Salon International de l’Automobile se sont réunis aujourd’hui afin de discuter de l’avenir du Geneva International Motor Show (GIMS), la plus grande manifestation publique de Suisse

En mars dernier, la Fondation organisatrice du salon de Genève avait immédiatement demandé au Canton de Genève un soutien financier pour couvrir les pertes causées par l’annulation du GIMS 2020 – estimées à 11 millions de francs suisses – et pour préparer une nouvelle édition. Début juin, le Grand Conseil de Genève a approuvé un prêt de 16,8 millions de francs suisses pour la Fondation. Tout en remerciant les autorités compétentes du Canton et de l’Etat de Genève pour leur volonté d’accorder ce prêt au GIMS, la Fondation ne considère pas les termes du prêt comme une garantie de la stabilité financière à long terme de celle-ci. En effet, elle devrait dès juin 2021 rembourser 1 million de francs suisses sans avoir bénéficié d’une entrée d’argent au préalable, l’édition 2021 ne pouvant avoir lieu. Ce prêt étant également soumis à la condition qu’un événement soit organisé en 2021, la Fondation s’est voit malheureusement dans l’obligation de refuser cette proposition. Les décisions prises aujourd’hui sont les suivantes :

1. La Fondation n’organisera pas de GIMS en 2021.
2. Le prêt de l’État de Genève est refusé.
3. La vente du GIMS à Palexpo SA est la solution privilégiée.
C’est donc sans doute que les conséquences financières résultant de l’annulation du GIMS 2020 pour cas de force majeure par le Conseil Fédéral en raison de la pandémie de coronavirus que la Fondation en charge de l’organisation de l’événement a dû prendre ces décisions importantes pour l’avenir du GIMS. Le Comité et le Conseil de Fondation ont renoncé à organiser une manifestation en 2021 pour des raisons évidentes: suite à un sondage, la majorité des exposants a indiqué qu’elle ne participerait probablement pas à une édition 2021 et qu’elle favorisait une prochaine édition en 2022. Le secteur automobile étant actuellement confronté à une crise majeure, les exposants ont besoin de temps avant de pouvoir investir dans un salon. En outre, il n’est pas certain que la situation sanitaire permette l’organisation d’un événement regroupant plus de 600’000 visiteurs et 10’000 journalistes au printemps prochain

Avec le GLS de Mercedes, il est inutile de tergiverser durant des heures : il combine le confort des berlines de la marque allemande avec l’efficacité du tout-terrain. En clair : un bloc de granite monté de sièges en velours.

Un colosse

1m83 de haut, 2m16 de large et 5m20 de long. Voilà les mensurations de ce mastodonte, qui rivalise clairement avec le BMW X7. Et les lignes extérieures du GLS accentuent encore un peu son effet « gros calibre ». Carré, avec un nez court et un habitacle qui semble, en comparaison, très long. Le GLS en devient presque difficile à stationner dans les parkings étroits des centres-villes. Heureusement, Mercedes l’a bardé de capteurs et de caméras.

De plus, grâce à sa silhouette, l’espace intérieur semble sans limites. Il propose 6 belles places, sans exiger des passagers taille « mini » dans le fond. 7 avec une place centrale sur la deuxième rangée de sièges. Si toutes les rangées de sièges sont sorties, le GLS offre un coffre de 680 litres. Par contre, une fois les sièges du fond abattus, votre coffre frôle alors les 2 300 litres. Un plaisir pour le transport de gros volumes. Le petit plus : toutes ces opérations peuvent être électrifiées, selon le pack d’options embarqué.

Ambiance « classe S »

L’écran widescreen positionné de façon centrale capte le regard dès que l’on monte dans l’habitacle. Toutefois, vu que la technologie se généralise, elle impressionne moins qu’à son arrivée sur le marché. Le reste du véhicule se veut tout aussi luxueux : les finitions chromées ou boisées, selon votre choix, rappellent le luxe de la classe S, avec la mobilité sur la route d’un SUV. Il faut reconnaître au GLS que peut importe l’état des routes belges : ses 4 roues motrices et sa boîte automatique à 9 rapports amortissent les moindres chocs.

Un moteur puissant

Avec un colosse de 2,5 tonnes, Mercedes était obligé d’assurer côté motorisation. Des blocs de 6 et 8 cylindres sont possibles. En version Diesel, le GLS propose 286 ch et 330 ch. La version essence, « dopée » par l’EQ-boost, propose 367 ch en 6 cylindres, et un V8 qui développe jusqu’à 489 ch. Le luxe et l’espace ont un prix : notre version plafonnait à 104.235€.

BMW frappe fort avec ce modèle 330e hybride. Voilà un modèle qui allie parfaitement les avantages de l’hybride avec la philosophie sportive de la marque.

On ne va pas passer par quatre chemins. Comme toujours chez BMW, c’est le coffre qui pèche. Il fait 375 litres, soit 145 litres de moins que les versions thermiques du même véhicule. En cause, les batteries intégrées sous la banquette arrière (40/20/40). C’est toutefois là un des rares bémol de cette version hybride.

6 motorisations

Voilà une nouvelle qui va faire plaisir aux amoureux des motorisations. La 330e Hybride dispose de 6 modes de conduite : 100% électrique, Hybride, Hybride-eco-pro, Sport, Sport individual, XtraBoost. Une des nouveautés de la nouvelle génération hybride chez BMW est ce mode « sport ». Le mode XtraBoost permet de rajouter 41 ch à un véhicule qui atteint déjà les 100KM en 5,9 secondes. Le véhicule bénéficie en plus de la boîte automatique BMW, ultra réactive, ce qui permet d’obtenir une voiture sportive et dynamique.

Cependant, elle peut assurer des trajets de 60km en full électrique, et dispose d’une puissance de 292 ch lorsque l’on combine le moteur thermique essence et l’électrique. Une performance agréable pour une berline de cette taille.

L’intérieur

Plein pied dans l’ergonomie BMW côté tableau de bord et commandes. Tout est centralisé sur un écran central, orienté vers le conducteur. Un détail typique de la marque allemande, qui pense toujours tout pour faciliter la conduite. La finition intérieure à l’avant est soignée, voire épurée.

On peut qualifier l’arrière par contre de dénudé, avec une assise pour les passagers très courte. Rien de neuf concernant ce modèle toutefois, il s’agit d’un reproche régulier des utilisateurs envers les BMW.

Le prix

L’entrée de gamme se situe à 51 800€. Même ordre de valeur que ses demi-sœurs la 330d xDrive et la 330i xDrive. Deux points devraient finir de vous convaincre : en conduite combinée, cette hybride vous permet de diminuer votre consommation de 10%. Et avec sa conduite mixte, elle annonce une consommation à 1,7l/100km, avec des émissions de CO² de 39g/KM. Un résultat qui permet de passer largement sous le couperet de la taxe éco-malus belge, qui ne débute qu’à 146g d’émission de CO² par kilomètre.